Les cris de récré, il faut les décoder. Du hurlement pas grave au petit « Maîîtressse » tremblant, de celui qui s’est coincé le doigt dans la porte.
Mercredi du haut de la balançoire, Aziz m’a appelée et ça avait l’air important. Je suis arrivée vite et il m’a dit « Maîtresse, j’ai mal à ma douleur » en mettant sa main sur sa poitrine. J’ai cherché avec lui: pas faim, pas soif, pas essoufflé, pas tombé…
Pas quelque chose qui se nomme.