« Moi, tu sais, j’ai peur de la veilleuse. Et y a le vent derrière mon lit et le loup qui arrive. Et les fantômes qui mettent leurs dents. »
On est en juin, il pleut des trombes et à dix heures du matin, il fait tellement sombre que les enfants racontent.
Dehors, la cour est devenue une flaque, on dirait que ça ne se videra jamais.
Mais, c’est l’été.