Malik, le beau parleur qui se fichait de la ponctuation, de l’orthographe, de la conjugaison, de la longueur des phrases et du regard des autres, est venu m’apporter un de ses poèmes.
« C’est coquillage a perte de vu ce cour d’eau orizontale qui veu se deverser sur la mer je vois le bonheur qui m’attend tout droit là-ba juste devant moi si le temp me le permée j’irais nager au finfon des mer saler est j’irais rejoindre le bonheur encore jamais trouvais ».